TerraPsy

30 mars 2007

Psychothérapies en ligne : histoire, questions éthiques et perspectives psychanalytiques

Classé dans : Non classé — Yann Leroux @ 9:24

Voici le chat de la conférence donnée sur Second Life le 21 Mars 2007

[12:55] Antheaum Toll: la conférence se prépare-t-elle bien ? je suis moi dans un cyber café
[12:55] Yleroux decline Argument from A group member named anjali Kazan.
[12:55] anjali Kazan: oui sarashu, le conferencier vient de se connecter, je suis soulagée lol
[12:55] Yleroux decline Centre de psycho-analyse, Terra Toulouse (22, 116, 24) from A group member named anjali Kazan.
[12:55] Mo Ames: Bonsoir
[12:56] anjali Kazan: kikoo félin:)
[12:56] sarahshu Salomon: ok
[12:56] Chamo Falta: C’est vous le conferencier Mo Ames ?
[12:56] Mo Ames: Kiko Anji ;)
[12:56] Yleroux : bonjour tlm
[12:56] anjali Kazan: Yleroux –> il ne va pas tarder à arriver
[12:56] Mo Ames: Non ce n’est pas moi
[12:56] Chamo Falta: ah lol ok
[12:56] anjali Kazan: lol
[12:56] Yleroux : Je crois être la
[12:57] jiahe Jie: bonjour
[12:57] Mo Ames: Je reviens, Bonsoir Yleroux
[12:57] anjali Kazan: je ne t’avais pas vu arriver, bonsoir:)
[12:57] jiahe Jie: oui
[12:57] Yleroux : :D
[12:57] Sorgo Trenton: c’est très bien:)
[12:57] anjali Kazan: nous ferions bien de prendre place avant que le lag nous emporte:)
[12:57] Mo Ames: :)
[12:57] Yleroux : Bonsoir Sorgo
[12:58] Yleroux : ahh ca c’est pas les serveurs de wow
[12:59] Sorgo Trenton: Esr ce qu’il est possible demettre aussi une plante verte à l’angle à votre droite?
[12:59] anjali Kazan: les fauteuils sont scriptés confort integré:)
[13:00] Yleroux : Je propose que l’on attende encore 5 minutes, d’autres personnes sont attendues
[13:02] Antheaum Toll: Où et qui est Sorgo?
[13:02] Yleroux : Sorgo est dans le coin, on l’a entendu sur le chat
[13:02] Antheaum Toll: Sorgohohoho
[13:03] Antheaum Toll: bon.. je m’asseois
[13:03] Yleroux : oui antheaum :D
[13:06] anjali Kazan: on dirait qu’il y a quelques problèmes de lenteur sur le réseau Yleroux :p
[13:06] Yleroux : cad ?
[13:06] anjali Kazan: pas mal de difficultés à la connexion
[13:06] anjali Kazan: beaucoup de bug aussi ces derniers temps
[13:06] Antheaum Toll: d’un grand CyberCafé ça marche impec
[13:06] Yleroux : ah ?
[13:07] Antheaum Toll: peut-être des lignes spécialement robustes..
[13:07] Yleroux : J’ai des appels de personnes irl qui me disent qu’elles arrivent. DOnnons leur 5 min de plus et on y va
[13:07] emmanuelle Ballinger: salut
[13:07] Yleroux : bonjour emmanuelle
[13:07] anjali Kazan: bienvenue emmanuelle:)

[13:12] emmanuelle Ballinger: puisqu’on a quelques minutes pouvez vous me dire en quoi va consister la conférence de quelle manière elle va se dérouler merci
[13:12] Yleroux : Oui. je vais donner les règles
[13:12] emmanuelle Ballinger: ok
[13:13] Yleroux : La conférence va porter sur les psychothérapies en ligne. J’en donnerai l’histoire, les questions éthiques qui se posent et les perspectives psychanalytiques
[13:13] Yleroux : Pour les regles, et afin de préserver la lisiblité du chat, je vous suggere d’échanger par IM dans la salle.
[13:13] emmanuelle Ballinger: nous n’avons aucun moyen d’enregistrer les écrits (q i )
[13:14] Yleroux : A la fin de la conférence - je ne souhaite pas vous infliger une trop grande longueur :-) - il y aura un temps d’échange et de discussion.
[13:14] anjali Kazan: les ecrits seront restitués sur le blog Terrapsy
[13:14] emmanuelle Ballinger: ok
[13:14] anjali Kazan: nous vous feront parvenir l’adresse:)
[13:14] Yleroux : Pour prendre la parole, il vous suffira de la demande en disant PAROLE sur le chat
[13:15] Yleroux : je propose que l’on commence….
[13:15] emmanuelle Ballinger: je pense ne pas pouvoir rester jusqu’à la fin
[13:15] Antheaum Toll: commençons
[13:15] Yleroux : Je suis heureux de vour voir ici pour discuter de quelque chose qui se développe sur le domaine francophone après avoir été expériementé par les collegues anglophones
[13:16] Yleroux : Nous sommes quelques uns, dans le petit peuple psy, a nous intéresser à ce qui se passe sur l’Internet - pas assez à mon gour -
[13:16] Yleroux : mais je pense que le temps joue en notre faveur et que nous serons de plus en plus nombreux
[13:17] Yleroux : La conférence de ce soir a pour theme
[13:17] Yleroux : PSYCHOTHERAPIES EN LIGNE – HISTOIRE, QUESTIONS ETHIQUES, et PERSPECTIVES PSYCHANALYTIQUES
[13:17] Yleroux : De tous les réseaux, Internet est celui qui s’est développé le plus rapidement.
[13:17] Antheaum Toll: Commençons
[13:17] Yleroux : Son extension, son infiltration dans nos vies professionnelles et personnelles est telle qu’il devient incontournable pour la plupart d’entre nous. Ses précurseurs sont construits, au creux de la guerre froide, non pas pour, comme on le répète souvent, faire face à une attaque nucléaire, mais simplement parce que les hommes qui inventent les premiers protocoles de communication machine – machine les utilisent rapidement pour bavarder. A la communication entre les machines s’ajoute ainsi la sociabilité inter-humaine, la première pré-formant la seconde, en lui donnant un lieu et des processus
[13:18] Yleroux : LES PREMISSES
[13:18] Yleroux : La psychologie et la psychothérapie s’implantent sur l’Internet d’abord comme objet d’échange avant d’être une pratique.
[13:18] Yleroux : Les professionnels arriveront dans un second temps, pour découvrir un monde déjà bien organisé, le plus souvent sous la forme de communautés.
[13:18] Yleroux : Dans un premier temps, ce sont donc les personnes présentant des difficultés psychologiques ou leurs proches qui utiliseront le réseau comme moyen de communication, d’information et d’aide.
[13:18] Antheaum Toll: Puis-je m’insurger?
[13:19] Yleroux : *Nous aurons tout le temps déchanger par la suite*
[13:19] Yleroux : …
[13:19] Yleroux : Ainsi, à toute heure du jour ou de la nuit, à tout point de la terre – pour peu qu’il y ait une prise de téléphone – il est devenu possible à une personne de présenter une situation lui faisant problème dans un anonymat relatif et d’obtenir une réponse.
[13:19] Yleroux : Dans certains groupes, certains écrivent des Conseils d’Utilisation, à l’intention des nouveaux venus, les informant de ce qu’il peuvent attendre du groupe et ce que le groupe attend d’eux. D’autres s’organisent sur le modèle de Twelve Steps Groups et construisent des Chartes d’Utilisation en se donnant des dispositifs permettant de réguler le groupe.
[13:20] Yleroux : Les premiers pas vers une professionnalisation des interventions en ligne se font en 1985.
[13:20] Yleroux : L”Université de Cornell met en place un service qui aura immédiatement beaucoup de succès. Les étudiants peuvent écrire à « Oncle Ezra »1, et, si la question est susceptible d’intéresser le plus grand nombre, une réponse en ligne est publiée.
[13:21] Yleroux : LES PRECURSEURS
[13:21] Yleroux : Il faudra une dizaine d’années de plus pour que des psychologues et des professionnels de la santé mentale investissent l’Internet.
[13:22] Yleroux : David SOMMERS ouvre sa « cyber-clinique de santé mentale » en 1995. Dans ce cadre, il propose « d’offrir des services psychotherapeutiques non traditionnels via Internet »
[13:22] Yleroux : La thérapie en ligne qu’il propose se fait par mail et au prix de 100 dollars par mois payable en avance. Ce prix comprend « des échanges quotidiens ou quasi-quotidiens par mail”. Grâce à Internet, la difficulté d’accès à un thérapeute, pour des raisons économiques, psychologiques ou géographiques trouve une solution.
[13:22] Yleroux : Les échanges par mail permettraient également aux indécis de se faire une idée un peu plus précise du travail possible avec un psychothérapeute.
[13:23] Yleroux : C’est une patiente qui fera le plus gros travail d’organisation du travail que peuvent faire les psychothérapeutes en ligne
[13:23] Yleroux : Maria AINSWORTH tient patiemment le registre des psychothérapeutes qui proposent leurs services sur Internet. Sur metanoia.org, mis en ligne en août 1996, elle fait le compte des sites en lien avec la santé mentale, et tient le registre des nouveaux venus
[13:23] Yleroux : Le récit de sa thérapie en ligne commencée en 1995 sera publié dans E-Therapy de Robert Hsiung
[13:23] Antheaum Toll: PAROLE
[13:24] Yleroux : LES DOUTES ET LES QUESTIONS
[13:24] Yleroux : Les difficultés rencontrées par Maria AINSWORTH dans sa recherche d’un psychothérapeute sur le réseau l’amènent à mettre en ligne le nom de domaine metanoia.org en 1996
[13:24] Antheaum Toll: Tout le CYberCafé admire le courage et l’initiative de l’orateur - mais évidemment les critiques fusent
[13:25] Yleroux : Antheaum pouvez vous faire preuve d’un peu de patience et attendre la fin de la conférence que l’on échange ? Merci
[13:25] Yleroux : …
[13:25] Yleroux : Les difficultés rencontrées par Maria AINSWORTH dans sa recherche d’un psychothérapeute sur le réseau l’amènent à mettre en ligne le nom de domaine metanoia.org en 1996
[13:25] Antheaum Toll: Je veux bien
[13:26] Yleroux : La pratique en ligne est suffisamment importante en 1997 pour qu’une organisation professionnelle comme l’American Psychologist Association publie un rapport sur « Les services par téléphone, téléconférence et Internet »
[13:26] Yleroux : A coté de cette montée en puissance des psychothérapies en ligne, ou, comme les appellent les anglo-saxons, des « services en ligne de santé mentale », quelques doutes commencent à émerger et un débat s’engage, de site en site.
[13:26] Yleroux : Si un des pionniers, David SOMMERS ferme son site en faisant référence à des « problèmes et questions relatifs à l’éthique, au paiement, à la confidentialité », Gary STOFLE reste confiant : « Nous pouvons faire des psychothérapies en ligne »
[13:27] Yleroux : pour autant que le thérapeute soit compétant, c’est-à-dire à la fois formé à la psychothérapie, et à suffisamment à l’aise avec l’Internet afin de pouvoir interpréter correctement les vides que laissent la communication en ligne. Il en appelle à la mise en place de certifications nationales à la psychothérapie en ligne qui permettrait à chaque patient de s’assurer de la compétence des thérapeutes.
[13:27] Yleroux : Dans les difficultés que posent la clinique en ligne, STOFFLE note 1. le manque de face à face ; 2. la froideur potentielle du texte ; 3. les incompréhensions potentielles ; 4.l’absence de contrôle du fait que le patient et le thérapeute ne sont pas dans la même pièce; 5. la difficulté, pour le thérapeute, d’établir une relation thérapeutique sans voir le patient ; 6. l’anonymat du patient ; 7. la capacité du patient a communiquer en ligne.
[13:27] Yleroux : S’il donne comme contre-indication à tout travail en ligne les patients psychotiques ou ceux ayant besoin d’une médication, il ne muet sur les moyens qui permettraient de faire en ligne les évaluations nécessaires.
[13:28] Yleroux : A la convention de l’APA d’Août 1997, Leonard HOLMES annonce à ses collègues “Vous ne pouvez pas faire de psychothérapie sur le net… pas encore”, en donnant quatre principales raisons : 1. les problèmes de confidentialité, 2. la gestion des crises, 3. la bande passante, 4. la législation
[13:28] Yleroux : Sur Internet, le thérapeute ne peut garantir au patient la confidentialité, puisque les mails peuvent être lus par des tiers, que ce soit en local sur les machines, ou sur le réseau. Si le patient menace d’attenter à sa vie ou à celle d’un autre, le thérapeute ne peut intervenir comme le lui commande la loi. La bande passante est trop faible pour pouvoir utiliser les systèmes de visioconférence. Enfin, aux Etats-Unis, les lois et les possibilités de prise en charge des psychothérapies varient d’un état à l’autre et l’Internet fait flotter ce cadre légal.
[13:28] Yleroux : Pourtant, à chaque difficulté, HOLMES propose des solutions : le cryptage permet de sécuriser le mail ; une association comme les samaritains a l’habitude de gérer en ligne les crises, que ce soit au téléphone ou sur l’Internet ; la bande passante va en augmentant et enfin, pour ce qui est de la législation, il propose d’utiliser celle de l’état du patient, ce qui nécessite de la part du thérapeute de répondre positivement aux exigences légales des états dont il souhaite recevoir des patients.
[13:29] Yleroux : Craig CHILDRESS note que la situation même de l’Internet a des conséquences cliniques et juridiques.
[13:29] Yleroux : La perte des repères visuels et auditifs appelle à une révision de la base clinico-théorique des interventions en ligne, réduisent les capacités à établir un diagnostique et à s’assurer de l’identité du patient et conduisent à des erreurs de communication ; la confidentialité est problématique que ce soit du coté du thérapeute, du patient ou lors de la transmission; il n’y a pas de formation appropriée à la pratique en ligne ; il est difficile de résoudre les crises du fait du floutage de l’identité du patient, de la méconnaissance des ressources thérapeutiques et légales dont il dispose ; les cadres légaux qui règlent la psychothérapie peuvent être différents voire même antagonistes coté patient et coté psychothérapeute.
[13:29] Yleroux : Il note aussi les bénéfices, dont certains sont spécifiques au réseau. La présence “d’acteurs de santé mentale” en ligne permettrait à des personnes qui ne consulteraient pas en première intention de s’adresser à un professionnel et peut être de faire les premiers pas vers une aide psychothérapeutique. L’Internet serait également un lieu où pourraient être traitées les problèmes non cliniques.
[13:30] Yleroux : …
[13:30] Yleroux : Les auteurs font généralement preuve de pragmatisme. L’Internet se développe, et est une part importante de la vie des patients. Ce qui parait exotique ou même transgressif aujourd’hui est quelque chose de naturel pour les digiborigènes (PRENSKY, M. 2001) qui constituent maintenant la majorité des internautes.
[13:31] Yleroux : Les patients cherchent une aide en ligne soit dans les groupes de soutien, soit en cherchant soit en cherchant sur le réseau des informations sur différents aspects de la psychologie (types de thérapies, pathologies, diagnostiques), soit en cherchant des psychothérapeutes.
[13:31] Yleroux : Etre et vivre sur le réseau est si naturel aux digiborigènes qu’il leur semble aberrant de ne pas y trouver une aide psychothérapeutique.
[13:31] Yleroux : .:Les thérapeutes peuvent ils répondre à ces attentes ?.:
[13:32] Yleroux : VERS LE NOUVEAU MILLENAIRE
[13:32] Yleroux : n texte clôt cette période de doute : « Les applications psychologiques sur l’Internet : une discipline sur le seuil d’un nouveau millénaire », d’Azy BARAK
[13:32] Yleroux : en voici les points principaux
[13:32] Yleroux : 1. L’accès à une information 2. Les guides d’auto-thérapie . 3. Les tests et les évaluations 4. L’aide à la décision de commencer une psychothérapie . 5. Une information sur les acteurs et les services proposés 6. Un conseil psychologique ; 7. Un conseil psychologique ou une psychothérapie au long cours via le mail 8. Les groupes de soutien en ligne 9. La recherche
[13:33] Yleroux : Pour Azy BARAK, la pratique en ligne pose plusieurs problèmes qui doivent être réglés d’une façon ou d’une autre : la confidentialité ; la différenciation des professionnels des charlatans ; une formation spécifique des thérapeutes en ligne qui doivent connaître ce que l’utilisation du média favorise et empêche ;
[13:33] Yleroux : L’ISMHO ET LA FORMALISATION DE LA PRATIQUE CLINIQUE EN LIGNE
[13:33] Yleroux : L’imaginaire du nouveau millénaire agite même les thérapeutes.
[13:33] Yleroux : A la fin de l’année 1999, 16 d’entre eux se réunissent au sein d’une association créée deux années plus tôt, l’International Society for Mental Health Online , et créeent le Online Study Case Group.
[13:34] Yleroux : Le groupe se donne comme objet et comme but la recherche sur les psychothérapies en ligne. Il produira des documents importants. Parmi les fondateurs, des pionniers de la psychologie en ligne : John SULER et Michael FENICHEL
[13:34] Yleroux : Le CCSG donnera plusieurs textes dans lesquels il posera le travail clinique en ligne comme une réalité. Le premier de ces textes-racines - CCSG : a report from the Millenium Group 6
[13:35] Yleroux : donne les règles éthiques a partir desquelles un cas peut être présenté en ligne
[13:35] Rastofire Aferdita vient de se connecter
[13:35] Yleroux : 1. La confidentialité de la personne (ou du groupe) est elle protégée en déguisant ou supprimant l’information qui pourrait directement ou indirectement révéler l’identité (offline ou online) de la personne et sa localisation. 2. Quelqu’un sur la liste a t il un contact direct ou indirect avec les personnes dont on discute le cas, et pourrait révéler des éléments confidentiels ou d’une façon ou d’une autre blesser la personne. 3. La personne a t elle donné l’autorisation que son cas puisse être discuté ? 4. Quelles précautions ont été prises pour protéger la confidentialité de la discussion (par exemple, l’ordinateur et la messagerie ont ils un accès restreint ?) 5. La personne dont le cas est présenté a-t-elle donné explicitement son accord pour que du matériel (dessins, tests…) soit présenté ? 6. Durant des discussions avec des personnes étrangères à la liste, comment sera protégée la confidentialité de la liste et des cas qui y sont présentés
[13:36] Yleroux : présente succinctement les 16 cas cliniques qui ont été travaillés de Novembre 1999 à la mi-avril 2000. Il se conclue sur l’idée que les concepts et techniques utilisés dans les thérapies face-à-face restent valable, mais qu’il faut également prendre en compte ce qui est spécifique au réseau : la tendance des membres d’un groupe à se retirer dans l’anonymat (lurkers), les glissements temporels que permettent des dispositifs de communication asynchrone, la difficulté à identifier la personne à qui l’on parle ont à la fois leurs avantages et leurs inconvénients.
[13:37] Yleroux : Par la voix de John SULER, le Case Study Group de l’ISMHO formulera 61 hypothèses sur le travail clinique et les psychothérapies en ligne
[13:38] Entrisme Janus: PAROLE
[13:38] Yleroux : Toujours du SCG : « Evaluer l’indication d’une thérapie en ligne »
[13:38] Yleroux : propose quelques principes pour aider le praticien à déterminer si une psychothérapie en ligne est une bonne indication.
[13:38] Antheaum Toll: (vas-y janus)
[13:38] Yleroux : « Mythes et réalités du travail clinique en ligne »
[13:39] Yleroux : est le dernier texte du CCSG qui cessera ses activités quelques temps plus tard.
[13:39] Yleroux : CONCLUSION
[13:39] Yleroux : Tout un champ de pratique clinique s’est ouvert avec le réseau Internet.
[13:40] Yleroux : La question n’est plus de savoir s’il faut ou non utiliser le réseau pour une pratique clinique.
[13:40] Yleroux : Elle est de savoir comment l’utiliser sans céder sur les règles qui ordonnent nos pratiques.
[13:40] Yleroux : Il revient aux anglo-saxon d’avoir effectué un important travail de balisage préliminaire et d’avoir dégagé d’une part un ensemble de règles éthiques et d’autre part une série de questions théorico-cliniques dont la plupart restent encore à résoudre.
[13:40] Yleroux : A l’heure actuelle, il manque en effet une théorie permettant de rendre compte des conduites observées sur l’Internet.
[13:41] Yleroux : Les psychanalystes gagneraient à éclairer ces nouveaux mondes.
[13:41] Yleroux : Ils ont a leur disposition une boite à outil conceptuelle qui va de la rencontre avec l’autre (DOLTO, 1974) à la rencontre avec l’environnement non-humain (SEARLES, 1986), du rapport à l’image à l’utilisation des objets (TISSERON 1995, 1999) du bloc note magique (FREUD, 1925) à l’écran blanc du rêve (LEWIN, 1949) en passant par le for-da (FREUD, 1921).
[13:42] Yleroux : L’Internet pose aussi toute une série de question sur les processus de symbolisation et de médiation que l’on pourrait formuler de la façon suivante : l’usage du réseau favorise-t-il les mécanismes de faux-self, d’encryptement, de clivage ou au contraire soutien-t-il les processus d’introjection ?
[13:42] Yleroux : Est-ce un lieu de dépôt ou de mémoire ?
[13:42] Yleroux : Ils en ont aussi le devoir. Maintenir à l’écart de nos réflexions un domaine qui a dans la culture une telle importance serait une faute clinique. Que pouvons nous faire du réseau ? Que nous fait il ? Qu’est ce que l’Internet transforme en nous et en chacun ?
[13:42] Yleroux : Enfin, il est une troisième raison pour laquelle les psychanalystes devraient tourner leur intérêt vers le réseau. C’est que celui-ci dispose d’une toute autre manière que celle de la réalité le temps, l’espace, et l’identité. C’est un « appareil de travail » (KAES, 1994) qui manifeste un certain ordre de chose de réalité qui éclaire en contrepoint le dispositif psychanalytique.
[13:43] Yleroux : D’immenses champs de recherche s’ouvrent donc devant nous, et ils vont des prémisses de la symbolisation (le rapport du symbolique et de l’image, avec les pictogrammes, les signifiants formels, les, ) au marches du théâtre oedipien (la relation à l’autre sur le réseau), en passant par les questions d’identité et de genre.
[13:43] Yleroux : Ils nous permettent de mettre à l’épreuve des mondes en ligne nos catégories et nos modèles.
[13:44] Yleroux : … Je vous remercie de votre attention. Et de votre patience. :-)
[13:44] Entrisme Janus: Je ne crois pas que l’on puisse honnètement considérer des intervention de professionnel en ligne comme de la psychothèrapie. Je crains qu’il n’y ai là un amalgame. la rencontrephysique est indispensable à une psychoyhérapie, et on risque de voir émerger de nouyvelles formes de psycopathologie.
[13:44] Antheaum Toll: merci - c’était très bien
[13:44] Yleroux : Merci
[13:45] Antheaum Toll: mais bien sûr.. maintenant on peut parler..
[13:45] Yleroux : Sur ! J’ai cru comprendre que vous aviez des remarques a faire :-)
[13:46] Antheaum Toll: Il s’agit d’une impression technique - nous savons tous que nous cherchons comment faire - mais en l’occurrence ce qui nous a géné ici - c’était l’usage du copier-coller
[13:46] Antheaum Toll: Car le net nous permet d’accéder et de livrer des info textuelles
[13:46] Entrisme Janus: Merci pour cet exposé, mais c’est pas très facile d’intervenir avec les délais
[13:46] Antheaum Toll: de la sorte - et de sorte que.. une intervention préparée n’est pas utile ou redondnate
[13:47] Antheaum Toll: Votre texte était très bon
[13:47] Antheaum Toll: alors.. commnet faire?
[13:47] anjali Kazan: un canal audio aurait été plus approprié
[13:48] Samir Maktoum: oui
[13:48] emmanuelle Ballinger: oui en effet
[13:48] Yleroux : Oui, sans doute. Mais c’était une première. Le texte intégral de la conférence a été mis sur psyapsy.org et l’annonce en a été faire sur le groupe terrapsy. Mais… connaissant un peu les habitudes du net, je pensais que peu de personnes l’auraient lu
[13:48] Antheaum Toll: en effet.. nous ne lisons plus
[13:48] Yleroux : C’est noté pour le canal audio. Quelqu’un d’autre de terra psy s’y collera
[13:48] Yleroux : L’avantage du texte, c’est l’archivage
[13:49] Antheaum Toll: et la lecture interprétation par l’intelligence artificielle
[13:49] Yleroux : Discutons si vous le voulez bien des thérapies en ligne
[13:49] emmanuelle Ballinger: Vous parlez des thérapies en ligne en général mais est ce que vous concidérez comme concevable des rapports clinique directement dans sl d’avatar à avatar
[13:50] Yleroux : Je ne sais pas trop ce que vous entendez comme “concevables”
[13:50] Yleroux : Mais je pense qu’un travail clinique est possible en ligne
[13:50] Yleroux : dans SL
[13:51] Yleroux : Il est possible, par exemple, de travailler sur la représentation que l’on se donne avec un avatar
[13:51] Antheaum Toll: PAROLE : Question : quand vous avez ramené le sujet sur ‘thérapies en lignes’ pensiez-vous qu’on s’en éloignait lorsque nous abordions le sujet de l’Intell.Artif?
[13:52] emmanuelle Ballinger: est ce que le fait d’interagir par avatar interposé n’ajoute pas des problèmes suplémentaires qui dépassent la simple relation en ligne ?
[13:52] Entrisme Janus: Un travaiil clinique n’est pas une psychothérapie.
[13:52] Yleroux : la relation AaA (avatar à avatar) apporte des nouveautés. Certaines sont facilitantes pour le travail, d’autres non
[13:53] Yleroux : Je finis avec les questions d’emmanuelle et puis je viens a vous antheaum !
[13:53] Antheaum Toll: ok
[13:53] Yleroux : Ce qui est facilité, c’est le contact. Les personnes sont tendance à se livrer plus facilement
[13:53] Yleroux : L’envers, c’est que les protections de l’inhibition ne sont plus présentes
[13:54] Yleroux : Les nouveaux problèmes que la relation AaA pose : qui parle ? est ce que la personne est ce qu’elle dit ? Que faire en situation de crise ?
[13:54] Entrisme Janus: En ce sens il me semmble plus juste de parler de travail préparatoire à la psychothérapie
[13:55] Yleroux : Nous allons y venir Entrisme. Vous n”tiez pas la au début, alors je rappelle les regles du chat
[13:55] Yleroux : Pour prendre la parole, il faut la demande en tapant PAROLE : comme cela tout le monde pourra parler, et le chat restera lisible :-)
[13:55] Yleroux : Emmanuelle ai je répondu a votre question ?
[13:56] emmanuelle Ballinger: oui merci pour votre réponse
[13:56] Yleroux : :-) Antheaum, lorsque vous parlez d’intelligence artificielle, vous pensez à un thérapeute bot ?
[13:57] Antheaum Toll: Il n’est pas possible de ‘régler’ le chat - toute règle nuit à son excellence
[13:57] Antheaum Toll: Je ne sais pas ce que c’est ‘thérapeute bot’
[13:57] Yleroux : c’est a dire un robot, un programme
[13:57] Antheaum Toll: Je pense que l’IA est quelque chose que nous refoulons
[13:57] Antheaum Toll: Que l’écriture est devnue choses morte - pluss que jamais
[13:58] Antheaum Toll: et que tant que nous refoulons le rôle de l’IA, nous perdons .. notre temps.. tout
[13:58] Antheaum Toll: ça peut être un choix
[13:58] Antheaum Toll: mais ce n’est pas la vérité de SL
[13:58] Antheaum Toll: La vérité de SL est l’Intelligence Artificielle
[13:59] Antheaum Toll: j’ai fini
[13:59] LilyBoissauvage Bailey: Qu’entendez vous par Intelligence Artificielle ?
[13:59] Yleroux : Il y a au MIT des expériences interessantes avec des objets intelligents. Il y a aussi des travaux sur l’Intelligence collective. Peut etre faudrait il regarder dans cette direction ?
[13:59] Maeni Skall: PAROLE : Pouvez vous m’expliquer ce que vous entendez par IA dans SL, j’ai du mal à saisir.
[13:59] Antheaum Toll: La cyberntique achevée
[13:59] LilyBoissauvage Bailey: n’est -elle pas en évolution ?
[14:00] Antheaum Toll: Maeni.; je vous ferai une conférence là-dessus alors !!! :D
[14:00] LilyBoissauvage Bailey: *noté*
[14:00] anjali Kazan: Est-elle possible tant que le corps biologique guide les pas de l’avatar?
[14:00] anjali Kazan: *noté*
[14:00] Maeni Skall: Oui Anjali puisque ce sont les doigts qui appuient sur les touches des flèches :)
[14:01] anjali Kazan: Justement pas d’autonomie! :)
[14:01] emmanuelle Ballinger: PAROLE :
[14:01] Gabrielle Sinatra: Un Linden a été contacté pour venir enlever cette… chose géante qui recouvre Marseille. Tout est sous contrôle… grrr
[14:01] Yleroux : Emmanuelle ?
[14:02] emmanuelle Ballinger: qualifié de “clinique” toute étude ou relation téhrapeutique en ligne a til encore un sens ?
[14:03] Yleroux : Oui je le pense. Le texte, écrit et envoyé via le mail ou le chat permet de dire et de comprendre beaucoup de son fonctionnement psychique.
[14:03] Entrisme Janus: PAROLE
[14:03] Yleroux : Les interventions du clinicien peuvent etre modulée - caracteres gras, couleur etc.
[14:04] Yleroux : Entrisme.
[14:04] Yleroux : Posez votre question Entrisme :-)
[14:05] Entrisme Janus: Je pense et je me redit, c’est le clinique qui est en cause, mais je doute que la dimension thérapeutique soit parente.
[14:05] Entrisme Janus: Ehh, ehh Patente
[14:06] Antheaum Toll: PAROLE : chers collègues et amis, je suis de passage - en vacance et j’ai voulu être présent ce soir ; merci, je ne le regrette pas - à bientôt
[14:06] Yleroux : Vous voulez dire que vous n’etes pas certain des bénéfices thérapeutiques du travail en ligne ? Quels en seraient les obstacles ?
[14:07] LilyBoissauvage Bailey: N’est-il pas trop tot pour parler de bénéfice thérapeuthique ?
[14:07] Yleroux : Les cousins américains en parlent depuis 10 années
[14:07] Entrisme Janus: Les bénéfices me paraissent possibles, mais l’assimiilation a la psychothéarapie par la rencontre physique me paraît malhonnète
[14:07] Yleroux : Pourtant un travail se fait bien par … téléphone
[14:08] badboy1331 Smalls shouts: fantome
[14:08] emmanuelle Ballinger: PAROLE :
[14:08] LilyBoissauvage Bailey: Sur quel critères les américains se basent-il pour mesurer leurs effets ?
[14:09] Maeni Skall: PAROLE :
[14:09] badboy1331 Smalls shouts: booo
[14:09] Yleroux : Eh bien, curieusement, sur des critéres cliniques et non sur des criteres DSM :-)
[14:09] badboy1331 Smalls shouts: lol
[14:09] Yleroux : vous pouvez ignorer badboy via l’historique du chat
[14:10] badboy1331 Smalls shouts: boo
[14:10] Yleroux : Maeni ? et ensuite on passera en free chat si vous voulez bien
[14:10] emmanuelle Ballinger: Au téléphone la voix est encore un élément analogique qui assure une relation directe tandis qu’en ligne la relation est purement symbolique et parasitée
[14:10] Maeni Skall: Pensez-vous qu’un patient puisse vous faire confiance via l’écrit dans SL qui peut être copié collé ou autre ?
[14:11] Yleroux : Oui. Mais il est vrai que l’interface du chat de SL n’est pas sécurisée. Cela dit, le patient peut lui diffuser urbi et orbi le contenu du chat…
[14:12] Yleroux : Ce sont des craintes intéressantes qui peuvent, ama, être traitées dans la relation clinique
[14:12] Sorgo Trenton: PAROLE
[14:13] Yleroux : Oui Sorgo ?
[14:13] Maeni Skall: Oups je croyais qu’urbi et orbi était une parole papale :)
[14:13] anjali Kazan: lol
[14:13] Sorgo Trenton: La question intéressante est de savoir pourquoi quelqu’un préfère une approche SL à une approche RL
[14:14] Sorgo Trenton: Pourquoi ne pas le demander systématiquement et confronter nos expériences la dessus?
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] Yleroux : Oui :-)
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: v
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: ♫♥♫♥♫♥♫♥♫♥
[14:14] badboy1331 Smalls shouts: haha
[14:14] Sorgo Trenton: Pourrait on s’entendre pour poser cette question aux gens qui viennent nous voir?
[14:15] emmanuelle Ballinger: Un patient qui consute en ligne ne le fait il pas pour rendre purement virtuelle la nécessité de se soigner ?
[14:15] emmanuelle Ballinger: Pouvez vous me répondre ?
[14:15] LilyBoissauvage Bailey: l’une des différentes marquées est l’immédiateté … quelqu’un qui a besoin de parler le fera facilement sur l’instant dans le jeu et moins vers une démarche réfléchie rl
[14:16] Sorgo Trenton: ça, c’est dit avec nos mots d epsy, ce n’est pas mla réponse qui fait avancer… Le langage n’est pas utilisé d ela même façon sur SL
[14:16] Yleroux : il semble qu’il ait une fonction davantage phtatique
[14:17] Sorgo Trenton: ce qui fait défaut, c’est de comprendre la différence de l’engagement dans une relation. La question de savoir quand et comment elle peut être thérapeutique ne vient qu’après
[14:17] Yleroux : Emmanuelle, je pense que l’on peut avoir une demande valable en ligne. Il y a aussi la question du virtuel : notre discussion ici, elle n’est pas virtuelle, il me semble
[14:18] LilyBoissauvage Bailey: Oui Sorgo
[14:19] Sorgo Trenton: Les mots de la demande sur SL sont ils les mêmes que les mots d ela demande en RL?
[14:19] LilyBoissauvage Bailey: non
[14:19] Sorgo Trenton: Je suis novice sur SL…, mais je crois qu’on pourrait travailler sur ces mots…
[14:20] anjali Kazan: mais la question d’emmanuelle est interessante à plus d’un titre…peut être la necessité de se soigner n’est pas rendue virtuelle mais l’impact que cette demande va avoir sur la personne déjà extrêmement déstabilisée, le virtuel dans ce cas est une protection supplementaire, parfois necessaire
[14:20] nikk Moody: bonsoir
[14:20] LilyBoissauvage Bailey: Je pense qu’on a d’abord tout a apprendre de l’outil en écoutant ce qui vient se dire avant de pouvoir parler de pratique thérapeuthique organise
[14:20] Lilly Egoyan: bonsoir moi tout ça me pose un pb éthique
[14:21] Sorgo Trenton: BRAVO
[14:21] Lilly Egoyan: on ne peu savoir
[14:21] Lilly Egoyan: ki es vraimen en face
[14:21] Sorgo Trenton: C’était bravo pour LIL…
[14:21] Lilly Egoyan: faire de la psy oui
[14:21] Lilly Egoyan: mais
[14:21] Lilly Egoyan: …
[14:21] emmanuelle Ballinger: ???
[14:21] Lilly Egoyan: qui me di que la personne en face
[14:21] Lilly Egoyan: es vraiment apte
[14:21] Lilly Egoyan: a en parler
[14:21] Lilly Egoyan: ??
[14:22] Yleroux : oui il y a le probleme de la formation du psy et celui de l’indication de la pratique en ligne
[14:22] Lilly Egoyan: parce ke
[14:22] Lilly Egoyan: tout thérapie
[14:22] Lilly Egoyan: provoque un chagemen
[14:22] Lilly Egoyan: aussi
[14:22] Lilly Egoyan: bien dans le bon sens
[14:22] Lilly Egoyan: que dans le mauvais
[14:23] emmanuelle Ballinger: pouvez vous écrire d’un trait svp
[14:23] Lilly Egoyan: bien sur excusez moi…. Enfin voilà
[14:23] Rastofire Aferdita vient de se déconnecter
[14:23] Maeni Skall: J’avoue me poser les mêmes questions que Lilly .. comment vous faire confiance ? :)
[14:24] Entrisme Janus: Délimiter le champs des interventions en les qualifiants avec justesse paraît important. Il y a d’ailleurs iun enjeux politique avec l’assurance maladie.
[14:24] Sorgo Trenton: Des gens peuvent se faire confiance sans s econnaître, d’autres ne pas s efaire confiance en se connaissant…
[14:24] Lilly Egoyan: pour moi quan j’ai appris l’ouverture de ce centre j’ai trouver ça super …mais après tout qui peu prétendre avoir la compétence … car seul un psychiatre ou un psychologue est habilité a exercé. Et exercé sans diplome est contraire a la lois; sur SL comme sur la vrai vie
[14:24] LilyBoissauvage Bailey: Il me semble que c’est la même chose que dans la vie réelle Maeni, le choix de son thérapeuthe et la confiance qu’on lui accorde dépend du contact qu’on a avec lui avatar ou non
[14:25] Maeni Skall: Oui mais non … un avatar n’a pas de regard dans lequel on peut lire lorsqu’on est patient et non soignant ..
[14:26] Sorgo Trenton: Légalement, tout le monde peut se dire pychothérapeute, malheureusement…
[14:26] LilyBoissauvage Bailey: mais les habitudes de contact avec les autres avatars donnent a chacun des repère de confiance qui ne sont pas par les mêmes voies que le réel, mais fonctionnent de la même façon
[14:26] Lilly Egoyan: oui c’est ça le drame aujourd’hui la législation es insuffisante
[14:26] Maeni Skall: Je l’espère Lily …
[14:26] Sorgo Trenton: Justement, sur quoi se base ou non la confiance dans SL? C’est une question passionnante
[14:27] Maeni Skall: Question passionnante et terrifiante Sorgo ..
[14:28] Lilly Egoyan: attention, avoir une discusssion avec un personnage de SL un soutien quoi, n’a rien a voir avec un suivi thérapeutique il ne fau pas confondre entretien et discussion
[14:28] Sorgo Trenton: Comme toutes les questions passionnantes:). Mais je crois qu’on comprendra autant les mystifications que les échecs en la posant
[14:28] Yleroux : Je crois que j’ai zappé la question passionnante et terrifiante !
[14:28] Sorgo Trenton: La confiance:)
[14:28] Maeni Skall: La confiance Yleroux
[14:28] anjali Kazan: lol, la question de la confiance Yleroux
[14:28] Yleroux : Ah .. j’avais pas zappé alors
[14:29] Maeni Skall: Qui est homme, qui est femme, choix déterminant dans le RL pour une thérapie .. qui est qui dans SL ?
[14:29] Sorgo Trenton: C’est un problème qu’on trouve ailleurs, sur eBay, par exemple
[14:29] Maeni Skall: ebay vend des meubles pas des âmes :)
[14:29] Lilly Egoyan: sur e bay ???
[14:30] nikk Moody: la confiance par rapport à l’argent?
[14:30] Sorgo Trenton: C’est pour acheter, mais il faut décider, à un moment, de faire confiance,
[14:30] Maeni Skall: Les enjeux ne sont pas les mêmes .. à mon sens .
[14:31] emmanuelle Ballinger: Montaigne n’a pas écrit de sa main les essais en quelque sorte c’est son avatar de secrétaire et pourtant il y est tout entier et tout nu
[14:31] Sorgo Trenton: L’engagement dans une relation peuvent être très progressifs, et il y a un moment charnière
[14:31] Entrisme Janus: Je ne suis pas sûr que la loi soit centrale, la confiance est en effet en lien avec le travail effectif. Je reste monomaniaque, la thérapie aura lieu ailleurs qu’en ligne. Même si certaine interventions de qualité, “da’ide ou d’orientation peuvent intervenir en ligne.
[14:31] Lilly Egoyan: je pense que l’on peu écouté sur SL mais pas soigner. Après la confiance se fait naturellement je pense, elle découle des lien crée entre les avatard
[14:32] Sorgo Trenton: Avez vous réfléchi à la question d edonner sa vraie identité à un patient, s’il la demande, …ou même s’il ne la demande pas?
[14:33] LilyBoissauvage Bailey: il me semble que si on envisage de parler clairement de thérapie, il faut au moins un contact réel, par voix ou visionconférence, pour ancrer la thérapie au réel
[14:33] Lilly Egoyan: mais… cette personne que vous appelé “patient” que voulez vous lui apporter… la question es là
[14:33] Yleroux : Personnellement je suis pour donner mon identité irl sur le réseau. Mais c’est une habitude que je tiens de USENET. Je pense que cela peut se discuter
[14:34] Yleroux : Lily, l’ISHMO préconise aussi un contact irl. Mais… si le patient refuse ?
[14:34] anjali Kazan: ca ne se discute pas dès lors qu’il est question de soins à apporter…la question sous jacente est celle du recours possible à la loi en cas de pb
[14:34] Entrisme Janus: Je me demande si la question de l’identité est hautement modulable.
[14:34] Sorgo Trenton: Parce que cela change la confiance et l’engagement du patient (ou seulement du demandeur d’aide)
[14:35] emmanuelle Ballinger: La dématérialisation de la situation ne favorise t elle pas les abstractions, le patient risquant de concidérer ses problèmes de manière désincarné dans une textualité qui lui est extérieure voir étrangère ?
[14:35] Entrisme Janus: OuiOui
[14:36] Lilly Egoyan: sans compter les problème d’identification….. entre l’avatar, la personne elle même et le rapport a la réalité
[14:36] emmanuelle Ballinger: vous n’intervenez plus ?
[14:36] Yleroux : Il me semble que nous sommes identifiés a nos avatars !
[14:37] Maeni Skall: Oh non Yleroux …
[14:37] Yleroux : vraiment ? :-)
[14:38] Maeni Skall: Personnellement vraiment pas identifié hélas ^^
[14:38] Yleroux : Emmanuelle, peut être est ce un des buts du travail que de rapprocher certains de ce qu’ils écrivent, et pour d’autres de leur permettre de s’en décoller ?
[14:39] Maeni Skall: Non les mots sont vrais Yleroux .. c’est l’apparence qui ne l’est pas et qui dans certains cas peut changer bien des choses ..
[14:39] Lilly Egoyan: en tout cas je ne suis dans cette conférence depuis peu de temps mais je suis agréablemen surprise de toutes les question soulevé
[14:39] Entrisme Janus: Les avaatrs peuvent en effet fonctionner. Mais et alors? En quoi celàpermet au “patient” virtuel de jouer? Je précise que je participe à mon mremier “chat” ahjourd’hui.
[14:39] Maeni Skall: Un trouble social par exemple .. quel bénéfice retirer d’une thérapie virtuelle ?
[14:39] Yleroux : c’est sur. C’est un des aspects intéressants des avatars : le rapport a (notre) image et a la perception que les autres peuvent en avoir
[14:40] Yleroux : GG entrisme !
[14:40] Entrisme Janus: GG?
[14:40] Maeni Skall: Good Game ^^
[14:40] Lilly Egoyan: après ça dépend on peu aborder SL d’un poin de vu cognitif ou clique les deux son lié
[14:40] Yleroux : Si vous etes trop phobique pour sortir dans la rue, peut etre apprécierez vous de parler à un thérapeute en ligne
[14:41] Lilly Egoyan: toute a fai d’accor
[14:41] Yleroux : gg <> good game <> félicitations
[14:41] Maeni Skall: Tout à fait Yleroux mais celà a aussi son revers .. sortir encore moins.
[14:41] Lilly Egoyan: en revanche un paranoiac sera vite rétissan a l’idée de se confier a quelqun de virtuel
[14:42] Entrisme Janus: Et le thérapeute de supporter un tel patient!!!!
[14:42] Yleroux : ou il l’utilisera de façon paranoique - mon dieu je plane :-)
[14:42] Maeni Skall: =))
[14:42] Lilly Egoyan: et cela peu déclancher des nouveau symptome… allé chez un thérapeuthe c’est une démarche positive pour une phobie social
[14:43] Maeni Skall: Je veux bien être votre cobaye en tout cas :)
[14:43] nikk Moody: est -ce que la dimension de la fiction a été abordée?
[14:43] Yleroux : Fiction ? non
[14:43] anjali Kazan: non nikk
[14:43] Lilly Egoyan: rester chez soi … c’est s’engluer dans la maladie non ?
[14:43] nikk Moody: dans le rapport patient-soignant
[14:43] Maeni Skall: Oui et non Lilly … tout est histoire de mesure, c’est délicat
[14:43] Yleroux : Développez nikk
[14:44] emmanuelle Ballinger: Quelles sont les pratiques actuelles ou a envisager ? Les tarfis sont ils comparables aux consultations physiques ?
[14:44] Yleroux : Sur le domaine fr ou anglophone ?
[14:44] nikk Moody: SL n’est-il pas un endroit fictionel?
[14:45] emmanuelle Ballinger: Fr si il existe déjà
[14:45] Lilly Egoyan: moi j’ai un peu peur des dérives……par rapport au faite quetout ça es virtuel
[14:45] emmanuelle Ballinger: je ne parle pas de sl là
[14:45] Lilly Egoyan: excusez moi
[14:45] Yleroux : sur le domaine fr les choses sont en cours de constitution. Il est difficile, hélas, de pouvoir discuter clinique avec les collégues. Un groupe - ON|OFF a été créé pour cela sur psyapsy.org :-)
[14:46] Maeni Skall: Je n’ai jamais vu autant de réalité humaine que dans SL nikk … le monde est là, pareil ou pire .. ou mieux, mais il est là, tout entier ..
[14:46] nikk Moody: comment vérifier le dialogue dans le cadre d’une thérapie?
[14:46] Yleroux : c’est à dire nikk ?
[14:46] anjali Kazan: nikk tu parles de la fiction comme individuel imaginaire et du virtuel comme collectif?
[14:47] nikk Moody: le texte est alors l’unique lien, il n’y a pas de dialogue oral
[14:49] Lilly Egoyan: jy vais
[14:49] Yleroux : Le dialogue oral vous semble etre le plus important ?
[14:50] Entrisme Janus: Y a t’il des traveaux sur les pathologies”nouvelles” induites par les rapprts “désincarnéés”. Je pense en particulier sur le plan psychosomatique,.
[14:50] Lilly Egoyan: bonne soiré a tous !!!!!
[14:50] Yleroux : Je n’en connais pas Entrisme
[14:50] Maeni Skall: il est plus difficile que le dialogue écrit souvent … et peut être plus limité aussi
[14:50] nikk Moody: pour ma part je le trouve plus rassurant…
[14:50] anjali Kazan: en ce sens la question de l’IA était interessante entrisme…
[14:51] anjali Kazan: on parle aussi des EMC pour ce qui est des jeux et des mondes virtuels
[14:51] nikk Moody: EMC?
[14:51] LilyBoissauvage Bailey: Merci Yleroux pour cette excellente entrée en matière, bonne soirée a tous
[14:51] emmanuelle Ballinger: Selon la théorie psychanalytique le fait de donner de l’argent a son importance, c’est élément n’est pas nécessairement perdu sur internet pensez vous que cela pose un problème ?
[14:51] anjali Kazan: etats modifiés de conscience
[14:51] Sorgo Trenton: Bonsoir à tous, et merci, yann, c’était très intéressant, et une grande première !!!:))
[14:51] Yleroux : Au revoir Lily
[14:51] Maeni Skall: Bonsoir Lily
[14:51] nikk Moody: ok merci
[14:52] Yleroux : Peut etre est ce le moment de conclure ? il est 23.00 :D
[14:52] Yleroux : Merci Sorgo :D
[14:52] Maeni Skall: Hmmm une dernière question je peux ? ^^
[14:52] emmanuelle Ballinger: les petites phrases genent gener merci de dialoguer en im
[14:52] Entrisme Janus: Bonsoir et merci
[14:52] anjali Kazan: Je vais également me faire ago;) Merci beaucoup Yann et merci aussi aux participants:)
[14:52] Yleroux : Maeni ?
[14:52] emmanuelle Ballinger: les questions disparaissent
[14:52] Maeni Skall: Oui alors …
[14:52] nikk Moody: merci trés intéressant
[14:53] nikk Moody: quand la prochaine conférence?
[14:53] Maeni Skall: si le patient tombe “amoureux” de son psy ? concrètement ? cela peut se passer comment ?
[14:53] Sorgo Trenton vient de se déconnecter
[14:53] emmanuelle Ballinger: je ne suis pas satisfaite
[14:53] Yleroux : ah ? la date n’est pas fixée, mais nous l’annoncerons sur le groupe terrapsy et aussi sur le blog
[14:53] Yleroux : http://terrapsy.free.fr
[14:53] emmanuelle Ballinger: les règles n’ont pas été suivies
[14:54] nikk Moody: ok merci et bonsoir tout le monde
[14:54] Yleroux : :D un peu tout de meme, mais merci de les avoir suivies, Emmanuelle :D
[14:54] emmanuelle Ballinger: bcp de petites phrases sont venues gêner les commentaires
[14:54] emmanuelle Ballinger: bcp de questions sont restées sans réponses
[14:55] Yleroux : ah ? eh bien on pourra poursuivre sur le forum de psyapsy.org !
[14:55] emmanuelle Ballinger: bonne soirée à tous
[14:55] Yleroux : :D
[14:55] Maeni Skall: Merci :)
[14:55] Maeni Skall: Bonne soirée Yleroux
[14:55] Yleroux : Au revoir tout le monde, et encore merci
[14:55] Yleroux : :-)
[14:56] Yleroux : +++
[14:56] Samir Maktoum: bonsoir
[14:56] Samir Maktoum: quand a lieu la prochaine?
[14:57] Yleroux : je ne sais pas samir, nous l’annoncerons sur le groupe terrapsy et sur le blog http://terrapsy.free.fr
[14:57] Yleroux : Au revoir tout le monde

8 mars 2007

Chronologie des e-therapies

Classé dans : Non classé — Yann Leroux @ 10:06

1972 Des ordinateurs de Standford et de l’UCLA simulent une séance de psychothérapie lors de l’ « International Conference on Computer Communication » in d’Octobre 1972
1986 Oncle EZRA
Dear Uncle Ezra - Cornell University. http://ezra.cornell.edu/ (accédé Février 14, 2007).
http://en.wikipedia.org/wiki/Ezra_Cornell
1992 Début du ProjectH qui regroupe des professionnels de pays différents travaillant sur la communication médiatisée par ordinateur. Le groupe dure jusqu’en 1994.
http://www.it.murdoch.edu.au/~sudweeks/projecth/index.html

1995 STORM, “The Internet in ten years”
http://www.best.com/~storm/fiction.html [non vue]

1995 Simon EHLERT commence du email counseling à 5£ la session
AskSimon.co.uk. http://web.archive.org/web/20020715040121/www.asksimon.co.uk/asksimon/ (accédé Février 8, 2007

1995 The Internet in ten years STORM
http://www.best.com/~storm/fiction.html [non vue]

1995-11 David SOMMERS ouvre sa cyber-clinique chez dcez.com

1996-06 Virtual Psychotherapy ? CUTTER Fred Mental Health Net - PNI: Volume 1, Issue 3. http://web.archive.org/web/19970517102941/http://www.cmhc.com/pni/pni13b.
1996-08 Maria AINSWORTH met en ligne le nom de domaine metanoia.org
1997 STOFLE G., “Thoughts about Online Psychotherapy: Ethical and Practical Considerations”;
1997 APA Statement on Services by telephone, teleconference and Internet
http://www.apa.org/ethics/stmnt01.html
1997 STOFLE G. “Thoughts about Online Psychotherapy: Ethical and Practical Considerations”
1997-01 UEKER Ellen, “Psychodynamics considerations of online counseling”
http://www.mentalhelp.net/poc/view_doc.php?type=doc&id=313
1997-03 Issues In Internet Mental Health Services, AINSWORTH M.

1997-08 HOLMES “You Can’t do Psychotherapy on the Net, Yet”
http://mentalhealth.about.com/library/weekly/aa010499.htm
1997-08 L’International Society for Mental Health Online met en ligne ismho.org
1997-08 SULER J., “From ASCII to Holodecks : psychology of an Online Multimedia Community”.
http://www.rider.edu/~suler/psycyber/index.html
1997-08 Creation de ismho.org International Society for Mental Health Online
1997-10 La NBCC met en ligne une definition du counsellor

1997-12-27 M. FENICHEL met en ligne fenichel.com
1998 John GROHOL forge le mot d’ e-therapy)
1998 Psychology and the internet KING S. A. & MOREGGI D. Internet therapy and self-help group – the pros and the cons in J. GACKENBACH Psychology and the internet
1998 CHILDRESS Craig “Potential Risk And Benefits On Online Psychotherapeutics Interventions”
http://www.ismho.org/issues/9801.htm
1998 INGRAM J. Cybertherapy: Pariah With Promise? Http://www.selfhelpmagazine.com/ppc/viewpoint/cybparpr.html (accédé Mars 1, 2007).

1998 Potential Risk And Benefits On Online Psychotherapeutics Interventions, CHILDRESS Craig. http://www.ismho.org/issues/9801.htm
1998-06-27 John GROHOL ouvre un sujet sur les thérapies en ligne sur behavior.net
1998-08 Mise en ligne de psychcentral.com par John GROHOL
1998-10 KING, S. A., et. MOREGGI, D., Online Therapy and Self-Help Groups. 1998. http://webpages.charter.net/stormking/Chapter5/index.html (accédé Mars 1, 2007).

1999 EthicsCode.com est mis en ligne par l’équipe de OnlineCLinics pour construire les règles d’une pratique clinique en ligne
1999 David SOMMERS ferme www.dcez.com/~davids/ en mettant en avant des problemes et des questions concernant l’éthique, le paiement, la confidentialité et la loi devant être réglés avant d’aller plus avant
http://web.archive.org/web/19990208222604/http://www.dcez.com/~davids/
1999 Creation de leonardholmes.com par Leonard HOLMES
1999
BARAK Azy, “Psychological application on the Internet : A discipline on the threshold of a new millennium”
http://construct.haifa.ac.il/~azy/B17-PsychApplicationsInternetBarak.pdf
1999 Laszlo, J.V. , Esterman, G. &, Zabko, S. “Therapy over the Internet ? Theory, Research & Finances”
1999 “Thoughts on Mental Health Topics”, SOMMERS D
1999 Leonard HOLMES met en ligne leonardholmes.com
1999
BARAK Azy, “Psychological application on the Internet : A discipline on the threshold of a new millennium”
1999 Therapy over the Internet ? Theory, Research & Finances. Laszlo, J.V. , Esterman, G. &, Zabko, S.

1999-02 David SOMMERS
“Legal and Fee Stuff”. http://web.archive.org/web/19990220120750/nicom.com/~davids/legal.htm
1999-04 GROHOL John “Best Practices in e-therapy : confidentiality & Privacy”
http://www.ismho.org/issues/9901.htm
1999-05 Parution de Cyberpsychology & Behavior . Mensuel au départ, le titre devient bi-mensuel a partir de Décembre 2004. Il a pour objet l’exploration de l’impact de l’Internet, du multimédia et de la réalité virtuelle sur les comportements et la société
1999-06 SULER John “Avatar Psychotherapy”
http://www.rider.edu/~suler/psycyber/avatarther.html
1999-08 SULER John « Computerized Psychotherapy”
http://www.rider.edu/~suler/psycyber/eliza.html
1999-08 J. SULER “Computerized Psychotherapy”
1999-10 Leonard HOLMES met en ligne mentalhealth.about.com
1999-10-24 A Chat session at behavior online.net
http://behavior.net/chatevents/transcript99-4.html
1999-11 16 psychothérapeutes se réunissent et fondent un groupe de recherche sur les psychothérapies en ligne au sein de l’ISHMO. Le groupe adopte une démarche pragmatique . Son but est de produire une recherche systématique qui se nourissent de vrais cas cliniques afin d’approcher les difficultés techniques, théoriques et éthiques que la pratique de la psychothérapie en ligne soulève. Il est composé de 16 psychothérapeutes d’horizons théoriques et de pays différents. Il produira des documents importants. Parmi les fondateurs, des pionniers de la psychologie en ligne : John SULER, M. FENICHEL

2000 asksimon.co.uk (SIMON)
2000 “The Online Case Study Group of the International Society for Mental Health Online. A report from the millenium group”
http://www.ismho.org/casestudy/ccsgmg.htm
2000 SULER J. « Psychotherapy and Clinical Work in cyberspace »
http://www.rider.edu/~suler/psycyber/therintro.html
2000 FENICHEL M. Online psychotherapy : technical difficulties, formulations and processes
http://www.fenichel.com/technical.shtml
2000 CHILDRESS Craig “Ethical Issues in Providing Online Psychotherapeutic Interventions”
2000 FENICHEL M. “On the Nature of Online Therapy and Communication”
http://www.fenichel.com/ismhopanel-f.shtml
2000 SIMON ouvre asksimon.co.uk
2000 The Online Case Study Group of the International Society for Mental Health Online. A report from the millenium grou
2000 “Psychotherapy and Clinical Work In Cyberspace” SULER J
2000 « Online psychotherapy : technical difficulties, formulations and processes » FENICHEL M.
2000 Ethical Issues in Providing Online Psychotherapeutic Interventions
2000 “On the Nature of Online Therapy and Communication”, FENICHEL M
http://www.fenichel.com/ismhopanel-f.shtml
2000-06 SULER J. “The Online Clinical Case Study Group
of the International Society for Mental Health Online”
http://www.rider.edu/~suler/psycyber/casegrp.html
2000-06 Barbara Hordern BURGOWER “Is Online Help Safe?”
http://www.webmd.com/content/article/12/1674_50618

2000-07 SULER J. “Maximizing the Well-Being of Online Groups
The Clinical Psychologist in Virtual Communities”
http://www.rider.edu/~suler/psycyber/clinpsygrp.html

2000-07 SULER J. “Hypotheses about Online Psychotherapy and Clinical Work”
http://www.rider.edu/~suler/psycyber/workinghyp.html
2000-07 “Hypotheses about Online Psychotherapy and Clinical Work”, SULER J.
2000-10 MARSAN Jean Sébastien « Soigner l’agoraphobie via Internet, une véritable thérapie ? »

2000-11 FENICHEL M. « Online Therapy : technical difficultes, formulation and processes »
http://www.fenichel.com/technical.shtml
2000-11 « Online Therapy », FENICHEL M.
2001 Creation of sahar.org.il par Azy BARAK
2001 “Assessing a person’s suitability for Online Therapy”
http://www.ismho.org/casestudy/ccsgas.htm
2001 SULER J “The Future of Online Psychotherapy and Clinical Work”
http://www.rider.edu/~suler/psycyber/futurether.html
2001 SULER J.“The Online Clinical Case Study Group: an E-Mail Model”
In Cyberpsychology & behavior4 711-722
2001 Michael Fenichel PhD, John Suler PhD, Azy Barak PhD, Elizabeth Zelvin CSW, Gill Jones MA, Kali Munro MEd, Vagdevi Meunier PsyD, Willadene Walker-Schmucker ARNP “Myths and realities of online clinical Work”
http://www.fenichel.com/myths/
2001 CCSG “Assessing Suitability for Online Treatement”
http://www.ismho.org/casestudy/ccsgas.htm
2001 SAHAR Azy BARAK
2001 ISMHO Assessing a Person’s Suitability for Online Therapy 2001, http://www.ismho.org/casestudy/ccsgas.htm
2001 Assessing a person’s suitability for Online Therapy
http://www.ismho.org/casestudy/ccsgas.htm
2001 “The Future of Online Psychotherapy and Clinical Work”
SULER, J
2001 “The Online Clinical Case Study Group: an E-Mail Model” SULER J
In Cyberpsychology & behavior4 711-722
2001 CCSG “Myths and realities of online clinical Work”
2001-02 LEVINE J.From Couch to Keyboard: Cyber Therapy Booms,
http://www.webmd.com/content/article/30/1728_73112
2001-04 On « Suitability » for Online Treatment, FENICHEL M.
2002 psychology.info (Leonard HOLMES)
2002 “The Here and Now of Cyberspace”, FENICHEL M
http://www.fenichel.com/Current.shtml
2002 “The practice of Online Counselling, National Board for Certified Counselors”
http://www.nbcc.org/webethics2
2002 Leonard HOLMES met en ligne psychology.info
2002 The practice of Online Counselling, National Board for Certified Counselors
2002 Assessing a Person’s Suitability for Online Therapy, ISMHO Case Study Group
2003-05 From the keyboard to the couch : issues fort clinician in the age of the internet. McFARLANE Mary.
2004 CPT Code 0074T is published by AMA, making online counseling a recognized practice.

2004 Online Counseling: A Handbook for Mental Health Professionals.
2005 restoration.org.uk (Simon EHLERT)
2005 Simon EHLERT ouvre restoration.org.uk
2006-11 Online counseling : Integrating Group Dynamics and Technology, NEWBOLD-COOC Rain

1 mars 2007

La psychologie au risque du vituel

Classé dans : Non classé — Yann Leroux @ 10:08

Ce que l’on a appelé un temps les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication a vieilli et font l’objet d’un usage à la fois régulier. Il y a moins de vingt ans que le web est né à l’appel de Tim Bernays Lee, et déjà une grande partie de l’économie de nos entreprises en dépend, nos états y ont implanté leurs services et nous y trouvons des informations et des sources de plaisirs. Le réseau accompagne une grande partie de nos activités, que nous en soyons conscient ou pas et cela est devenu banal à un point que nous pouvons ajouter l’enveloppe numérique aux enveloppes sonore, visuelle, tactile, olfactive et auditive.

Il a connu une croissance qu’aucun réseau n’a connu avant lui, que ce soit du point de vue de la rapidité de sa propagation, de la croissance du nombre d’utilisateurs ou de la quantité d’objets transportés. Conçu à l’origine pour que des machines communiquent, il a été détourné de son usage par les utilisateurs qui en ont fait un lieu de sociabilité. Depuis, se fabriquent dans ce lieu des construit des usages, des façons d’être à soi-même et aux autres. Le réseau met en lien, partout, n’importe quant, n’importe quoi, quelque soit le point du réseau ou l’on se trouve.
De ces mondes qui se construisent sous nos yeux, nous avons à comprendre les logiques, les enjeux, les impasses et les promesses. Nous avons à le faire pour au moins deux raisons : la première est que maintenir encore à l’écart de nos réflexions un domaine qui donne à voir les transformations de notre société ou les anticipent serait une erreur ; d’autre part parce que nous avons à envisager et discuter les applications cliniques qui peuvent être faites sur le réseau, notamment sur Second Life.

Psyapsy.org organise sur Second Life une série de conférences ayant pour objet les mondes numériques.
La première d’entre elle se tiendra le 21 Mars 2007 à 21 heures.
Contacts Second Life : Lyliboissauvage Bailey, Anjali Kazan et Rastofire Aferdita

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